La tradition biblique rapporte que la félicité du premier homme avant la chute avait pour condition l’absence de travail, l’oisiveté. L’homme déchu a conservé le goût de l’oisiveté, mais la malédiction pèse sur l’homme non pas seulement parce que nous devons gagner notre pain à la sueur de notre front mais parce que, en vertu de notre nature, nous ne pouvons être à la fois oisifs et en paix.