Laurent a inscrit son fils quand il avait six ans, sans trop se poser de questions, comme l'avait fait son propre père. Être un homme signifiait, entre autres, aimer le foot. Mais l'expérience qui devait être fantastique, s'était avérée pour lui désastreuse. Ce sport s'imposait dans la famille comme l'apothéose de la masculinité.