En regardant en arrière sur les cent dernières années à l’époque où il n’y avait qu’un architecte professionnel pour l’ensemble du pays, en caricaturant quelque peu, le nombre d’architectes avait beau augmenter, celui des bâtiments satisfaisants proportionnellement diminuait. La généralisation peut être trompeuse, mais les faits étaient incontestables. L’architecture, au plus bas niveau depuis les années vingt, avait, en 1860, touché le fond. Avant chaque nouvelle manifestation de la société industrielle dans les villes et les bâtiments, le mot « laid » se révélait incontournable.