Les recherches ne me prirent pas longtemps. Plusieurs sites de librairies proposaient, d’Unica Z., L’Homme-Jasmin (à mon grand dépit, moi qui aurais tant voulu, en entrant dans le cercle des lecteurs d’Unica, faire partie d’un club très fermé). J’ignorais que je venais aussi de rejoindre une autre communauté, celle des collectionneurs d’œuvres consacrées aux grandes épreuves de l’esprit : le texte d’Unica Z. est sous-titré Impressions d’une maladie mentale.
(p. 73).