Le seul moyen d’être fort c’est de ne jamais subordonner ce que l’on est, c’est-à-dire ce que l’on pense, ce que l’on dit ou ce que l’on fait, à une préoccupation particulière ou à une fin temporelle. C’est à elles de me suivre et non pas à moi de les suivre.
Aussi ne s’étonnera-t-on pas que le possible nous tourne à la fois du côté du passé et du côté de l’avenir, du côté du passé en tant qu’il est objet de pensée pure et du côté de l’avenir en tant qu’il s’offre à nous comme devant être réalisé.