Elle ne demandait pas grand-chose au Tout-Puissant : juste un gendre de leur milieu, sinon d’une autre extraction sociale, mais fortuné. En absence de chevaux, les ânes aussi trottent. « Faute de grives, on mange des merles », concluait-elle en français, convaincue que Dieu parlait toutes les langues.
(page 44)