«En visitant de vrais pays communistes, je m'étais rendu compte à quel point le peuple y vivait de façon misérable alors que les dirigeants, eux, jouissaient de nombreux passe-droits. Sur ce plan, l'Algérie, il est vrai, ne faisait pas exception : une minorité s'était considérablement enrichie tandis que le peuple, lui, restait dans une grande misère» (p 223)