Encore une fois, le roman ouvre sur une expérience sensible, il étend le champ d’expression du monde et du langage, en faisant parler et vivre non du point de vue du concept, de la loi ou de l’universel, comme le philosophe, le théologue ou le scientifique, mais du point de vue de la voix singulière et spécifique en chacun d’entre nous comme des fragments de sujet et de conscience dans une absolue relativité; convoquant alors un autre univers, celui, ouvert, vide et vacant, de l’homme sans qualités. (p.101-102)