AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Lucie Braud (32)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Mimosa

Mimosa est une petite fille espiègle, rusée, curieuse, pleine de vie et attachante. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et ne manque pas non plus de répartie. Tantôt assise à table ou vautrée dans le canapé, tantôt allongée sur le lit ou à plat ventre par terre, mais toujours affublée d'un bonnet ou d'un chapeau des plus originaux, Mimosa nous livre, avec un naturel déconcertant, non sans une pointe d'humour ou d'ironie, ses pensées.



Découpé en quatre saisons, chacune représentée par une double page empreinte de poésie, cet album, en format à l'italienne, est composé de strips (pas moins de 170 tout de même) de quatre cases. Seuls les enfants sont représentés, Mimosa, bien sûr, ses copines, Lili et Suzie, son amoureux, Mathieu, et le vieux chat, Jean-Louis. Maman et Papa interviennent en voix-off. Lucie Braud, alias Catmalou, aborde des thématiques diverses et variées telles que l'école, la cantine, la kermesse, les sorties scolaires, le Père Noël, la télévision, les vacances chez grand-ma et grand-pa, l'hygiène... Des répliques cinglantes qui font mouche, des réflexions non dénuées de bon sens ou encore des anecdotes croustillantes, l'ensemble se révèle tout aussi drôle que piquant ou parfois naïf. Edith, de par son graphisme épuré, apporte fraîcheur et finesse à cet album. Sur fond blanc, avec seulement 3 couleurs (noir, blanc et rouge), la dessinatrice met en avant les expressions de Mimosa.

Pétillant, drôle et fichtrement bien vu !

Commenter  J’apprécie          532
Le dernier des Mohicans

Ce qui frappe en lisant l’adaptation BD du roman de Fenimore Cooper, c’est la force que véhiculent les dessins de Cromwell. Il nous plonge dans des contrées sauvages, le danger est partout, l’angoisse, la peur sont présentent, invisibles et pourtant bien là, une violence prête à surgir à tout moment. C’est d’une grande beauté, et par-dessus tout, flippant à souhait. On retrouve avec un plaisir enfantin les Mohicans Chingachgook et son fils Uncas, et le traitre Magua. Comme l’histoire est bien évidemment à la hauteur, cet hommage au roman de Cooper mérite largement de se jeter dans ce Nouveau Monde imagé par Cromwell. Et donner l’envie de se (re)plonger dans le bouquin de Cooper. C’est ça le principal.

Commenter  J’apprécie          470
Le dernier des Mohicans

Milieu du XVIIIe siècle. Les Français et les Anglais se battent pour l'appropriation des territoires indiens. Parmi les nombreux affrontements entre les deux nations, la bataille de Fort William Henry opposant les troupes du français Montcalm au britannique Munro reste sans doute la plus célèbre car immortalisée par James Fenimore Cooper dans son roman « Le dernier des Mohicans » qui a depuis fait l'objet de nombreuses adaptations, notamment cinématographiques (ah, Daniel Day Lewis...!). Cromwell y est lui aussi allé de son adaptation, mais cette fois en bande dessinée et le résultat est plus qu'à la hauteur. On y retrouve toutes les scènes clés du roman même si le récit se fait beaucoup plus rythmé, peut-être d'ailleurs un peu trop ce qui peut parfois gêner le lecteur pour la compréhension de l'histoire. C'est malgré tout un plaisir de découvrir en image Oeil-de-Faucon, les deux Mohicans Chingachgook et Uncas, les belles filles du colonel Munro ou encore l'impressionnant Magua.



L'intérêt de l'ouvrage tient en effet moins à la qualité du scénario qu'à celle des graphismes qui réussissent parfaitement à nous déconnecter de la réalité pour nous faire basculer dans cet univers inquiétant et sauvage où l'on sent bien que les Occidentaux ne sont pas vraiment à leur place. L'aspect peinture rupestre et l'utilisation de couleurs très chaudes mais assombries contribuent à créer cette ambiance un peu oppressante et ne font que souligner davantage la sauvagerie de ces territoires nord-américains mais aussi et surtout la violence omniprésente dans tous le récit. Les scènes de combat sont particulièrement réussies, mais là où les graphismes se font les plus saisissants, c'est lorsqu'ils représentent les Indiens desquels se dégagent une étrangeté et une sauvagerie presque palpables. Les premières planches sous forme de portraits en gros plan nous présentant succinctement les différents protagonistes au début de l'ouvrage sont particulièrement magnifiques.



Une adaptation réussie qui séduit avant tout par la qualité de ses graphismes qui nous plongent efficacement dans cette histoire sombre et violente que l'on découvre ou redécouvre ici avec plaisir. Encore un beau succès pour la collection Noctambule.
Commenter  J’apprécie          361
Le dernier des Mohicans

J’ai aimé la façon originale de se servir du principe de l’adaptation d’un roman en bande dessinée. Le récit est assez décousu, pour porter l’attention non sur le déroulé du récit, mais sur des moments forts. Cela justifie alors les choix graphiques, les illustrations sont traitées en peinture, en couche épaisse aux stries profondes, matière brute, granuleuse, donnant parfois l’impression de vieilles toiles sombres de musée ou de peinture sur un support minéral. C’est brut, comme la violence du récit.

Maintenant, ça n’évite pas non plus un certain maniérisme, une mise en avant de “l’effet”, une sorte de trucage systématique qui finit par gommer toutes les subtilités du récit. Dans ma jeunesse, j’étais fan de ce genre de procédé, aujourd’hui, je me laisse moins facilement bluffer.
Commenter  J’apprécie          150
Le dernier des Mohicans

Cromwell propose ici une adaptation très libre du roman de Fenimore Cooper. Il n’a choisi d’illustrer que les scènes les plus marquantes, faisant de son album une longue traque dans les bois. C’est un des points faibles de l’ouvrage. L’intrigue, trop décousue, est difficile à suivre. Mais l’important n’est pas là. Cette adaptation vaut essentiellement pour son incroyable démonstration graphique. Rarement on a vu une ambiance crépusculaire aussi bien rendue. Cromwell a utilisé une peinture acrylique, travaillant tous ses dessins à la brosse avant de les scanner et de faire un montage en double page par ordinateur. Les images, saturées de rouge, d’ocre ou de vert, offrent une lumière oppressante dont on ne saurait dire si elle est diurne ou nocturne. Dans une interview, Cromwell s’avouait passionné par l’expressionnisme allemand. La référence saute aux yeux tout au long de l’album. Autre influence revendiquée par l’auteur, le courant de l’Hudson River School créé par l’américain Thomas Cole.

Les indiens de Cromwell, au teint diaphane, sont secs et noueux comme des branches prêtent à rompre. L’atmosphère est à la fois tendue et onirique. La violence est tantôt brute, tantôt très poétique. On imagine le claquement des arcs, le bruit du Tomahawk fracassant un crâne. Et cette forêt : sombre, silencieuse, où les ombres se faufilent entre les arbres, prêtes à jaillir sur leur proie à tout moment.


Lien : http://litterature-a-blog.bl..
Commenter  J’apprécie          90
Le dernier des Mohicans

Je n'ai pas été emballée par cette BD... avant toute chose, je tiens à préciser de n'avoir jamais lu le roman duquel elle s'inspire, ni vu le film...

Je découvre donc le dernier des Mohicans seulement avec ces images assez floues et ce récit plutôt vague.

Du coup critique à prendre avec des pincettes. En ayant connaissance de la culture de l'oeuvre d'origine, je l'aurai certainement appréciée.

Cependant, je sais reconnaître quand je tiens un bon livre entre les mains, et tel a été le cas! Le dessin sombre et torturé m'a séduit au point de laisser l'histoire au second plan pour ma part. Bien loin de rester sur une idée vague, ça m'a donné envie de me procurer le roman.
Commenter  J’apprécie          80
Mimosa

Elle est mignonne !

C'etait bien le genre de lecture toute gentillette dont j'avais besoin. Mimosa m'a un peu fait penser à Mafalda, sans le côté politique : mais elle a autant de bagou.

Lire cette BD d'une seule traite est un peu répétitif, et peut-être est ce mieux de la savourer sur plusieurs jours....

Mais, je ne suis pas sûre de beaucoup m'en souvenir dans quelques semaines : c'est sympathique sans être marquant.
Commenter  J’apprécie          70
Le dernier des Mohicans

Jusqu'à cette lecture, du Dernier des Mohicans je ne connaissais que l'adaptation cinématographique... je n'ai pas encore lu le roman. Pourtant il est dans ma PAL.... mais il y en a tellement d'autres que je ne suis pas arrivée à lui....

Mais après la lecture de cette BD, je pense qu'il va un peu remonter dans la pile !!

Outre le récit que je connaissais "en gros, il y a ces citations à chaque début de chapitre. des extraits d'autres textes.... qui s'insèrent là.. parfaitement adaptés.... et qui me donnent envie de le toute une série d'autres romans...

Et il y a le dessin !

Oh quelle claque... toutes une série de peintures.... sur toiles ? peut-être... J'adore... je comprends que cela puisse rebuter, parce que c'est tout de même particulier comme représentation... mais pour moi c'est un peu plaisir des yeux... à en oublier de lire le texte.

Encore un livre que je vais devoir acheter
Commenter  J’apprécie          60
Le dernier des Mohicans

1757, Français et Anglais se disputent l’appropriation des territoires indiens. Au cœur de cette guerre, un jeune officier est chargé de conduire les filles du colonel Munro jusqu’à leur père. Sur la route vers le fort William Henry, les deux sœurs et leur escorte sont victimes d’une embuscade et ne doivent leur salut qu’à l’intervention de trois hommes : Œil-de-Faucon, le chasseur blanc élevé par les indiens, et ses deux amis mohicans, le chef Chingachgook et son fils Uncas.



Après l’inauguration réussie de cette collection Noctambule des éditions Soleil par le superbe A Bord de l’étoile Matutine de Riff Reb’s, basé sur l’œuvre éponyme de Pierre Mac Orlan, c’est à présent au tour de Cromwell de proposer une nouvelle passerelle entre les romans et la bande dessinée. Assisté par Catmalou, l’auteur choisit de rendre hommage au célèbre roman de James Fenimore Cooper.



De par ses nombreuses adaptations au septième ou au neuvième art, l’histoire du dernier des mohicans est connue de tous et propose une immersion en pleine guerre de Sept Ans. Hurons, Mohicans, Iroquois et Ottawa sont les victimes indirectes de ces rivalités franco-anglaises et de ce conflit importé en leurs terres qui scelle lentement le destin de tout un peuple. Découpé en trois actes et en plusieurs chapitres consacrés aux personnages charismatiques de cette aventure, cette libre adaptation de Cromwell distille les moments forts de l’œuvre de Cooper. C’est l’errance du corps de John Greenwood, soldat anglais chargé de transmettre une missive aux filles de Munro et au général Webb, qui sert de fil rouge à ce récit rythmé par une voix-off qui gagne en importance au moment où le nombre de pages (dé)limité de l’album semble rappeler les auteurs à l’ordre. Mais, malgré ce changement de cadence ponctué d’une fin magistrale et une version condensée de l’histoire originelle qui pourrait déstabiliser les néophytes, le graphisme somptueux de ce one-shot ne manquera pas de séduire.



Avec des allures de livre d’illustrations, ce roman très graphique propose des peintures de toute beauté, qui restituent admirablement l’hostilité et la splendeur de ce territoire sauvage que se disputent Anglais et Français. Des tableaux qui laissent entrevoir les vestiges d’une civilisation ancienne qui s’est éteinte dans la barbarie et le sang. Au cœur de la forêt, tapies dans l’obscurité, des silhouettes prennent vie, tels des souvenirs lointains que l’on voudrait garder enfouis, mais dont l’intensité et la violence semblent difficile à contenir. Dans cet environnement très suggestif, l’auteur abandonne au lecteur le soin de combler les vides et de deviner des passages volontairement obscurcis par le temps. L’absence de blancs, que ce soit au niveau des phylactères ou des bords de pages, ne laisse d’ailleurs que très peu de choix au lecteur, qui se laisse immédiatement happer par la densité des sous-bois. Une ambiance menaçante et terriblement angoissante, accentuée par des tons sombres, qui renforcent encore le caractère oppressant de cet univers où le danger et la mort semblent guetter à tout moment.



Une adaptation personnelle et innovante, fidèle à l’œuvre originale et d’un esthétisme rare !
Lien : http://brusselsboy.wordpress..
Commenter  J’apprécie          60
Le dernier des Mohicans

J'ai trouvé cette couverture magnifique, elle m'a poussé à lire la BD qui pour moi est une prouesse graphique. les traits et les couleurs sauvages accentuent la cruauté des indiens et des coureurs des bois qui les côtoient. C'est une histoire comme certains de nos ancêtres, colons, explorateurs ont du connaitre, la terreur de ces contrées inhospitalières. Un voyage dans le temps, 1757, année de conquêtes. A coté le "fort Wheeling" d'Hugo PRATT reste doux.
Commenter  J’apprécie          50
Le dernier des Mohicans

L'histoire se passe en 1757, dans ces contrées sauvages que l'on nomme avidement le nouveau monde. Le territoire, âprement défendu par de multiples tribus indiennes, est la proie des français et des anglais qui se le disputent.

John Greenwood était le plus rapide à la course. C'est la raison pour laquelle on l'a envoyé porter au plus vite le message de détresse : il devait prévenir le général Webb, il devait quérir les renforts. Mais c'était sans compter la ruse de Magua...
Lien : http://bendis.uldosphere.org..
Commenter  J’apprécie          50
Le dernier des Mohicans

Une adaptation libre et innovante du roman de James Fenimore Cooper. Pour ceux qui n'ont pas lu le livre, cette bd peut les perdre un peu et encore.

Ce qui frappe ici, c'est le graphisme époustouflant et rare. C'est absolument magnifique. Les peintures aux tons froids restituent pleinement l'hostilité, la violence mais aussi la beauté de ce territoire sauvage.

Superbe
Commenter  J’apprécie          50
Mimosa

Drôle, intelligent, dans la lignée de bd strips cultes comme Calvin et Hobbes, Mimosa est une excellente bd humoristique plutôt pour adultes avec un ton assez fin composé de répliques et pensées bien senties.

Edith, que nous avons déjà vue à l'oeuvre dans des romans graphiques comme Emma G. Wilford (remarquable titre) , et Catmalou ( Anita Bomba ) s'approprient parfaitement le registre de la bd-strip et donne naissance à l'un des personnages les plus attachants de cette année 2019. Avec sa panoplie de bonnets , son franc-parlez bien cynique et sa passion pour tout ce qui est lectures-documentaires, Mimosa a tout d'une grande héroïne déjà culte.

Commenter  J’apprécie          30
Le dernier des Mohicans

Difficile de faire une bd sur un scénario tiré d'un grand roman historique.



Le premier parti pris de l'auteur est d'abord l'esthétisme. C'est magnifique. C'est un musée à chaque page. Des tableaux avec de la vraie peinture. C'est "grand" et très bien fait. Ce style de peinture traduit bien le coté tragique de la bd. Toutes ces couleurs traduisent cette tragédie. C'est sombre, peu de vue "grand angle". Une simple lecture intimiste dans cet univers violent.

Oui! d'accord elle se lit vite cette bd et les personnages apparaissent et disparaissent trop vites. Mais ce spectacle visuelle avec ces couleurs nous étonne, nous attire, nous envoute.

Oui! nous envoute. Nous sommes dans cette bd, au cœur même de ce conflit.

J'ai réussit à me prendre pour un Magua de papier...



Plaisir absolu.
Commenter  J’apprécie          30
Le dernier des Mohicans

Je confesse ne pas avoir lu le roman original ni avoir visionné le film tiré du roman donc mon avis est forcément incomplet en ce qui concerne le côté adaptation.

Je peux dire que les personnages principaux sont très clairement présentés puisque chacun a son portrait sur une page entière, numéroté, avec son nom et quelques informations, qui sont plus ou moins développées par la suite. Autant le dessin que le texte (qui est en proportion raisonnable globalement même si dans la dernière partie il a tendance à être présent en bloc, séparé du dessin qui en est globalement l'illustration) permettent de comprendre l'intrigue : le récit de la prise du fort William Henry en 1757 lors de la guerre de sept ans opposant les Anglais aux Français dans les contrées canadiennes, chaque camp ayant pour alliés des tribus indiennes. Aventure, guerre et trahison au programme, avec notamment pour enjeu les deux filles d'un major anglais.

Le récit est par touche, c'est très rapide, on sent bien le manque de développement des intrigues que doit contenir le roman mais l'essentiel est là.

J'ai trouvé un peu étrange d'ajouter à la fin de certains "chapitres" un intermède/bilan avec des citations issues d'autres oeuvres que le roman de James Fenimore Cooper, sur une page blanche de surcroît, qui casse l'atmosphère très sombre du reste.

Parce que c'est bien elle qui domine et qui m'a fascinée, cette atmosphère sombre et intense créée par un dessin sans coutour, pas de bulle ni de case traditionnelles, des pages pleines, souvent une scène représentée sur une double page, une peinture épaisse dont on voit les coups de pinceaux, des couleurs denses et soutenues.

Pour moi, chaque page est un chef d'oeuvre de peinture.

Grâce à cette lecture j'ai pris connaissance de cet épisode de l'histoire que j'ignorais complètement, soit, mais surtout, j'ai découvert la patte de Cromwell !
Commenter  J’apprécie          22
Le dernier des Mohicans

C'est poussée par un désir de relire des histoires d'indiens d'Amérique que j'ai attrapé cette bande dessinée dans une bibliothèque...

J'ai malheureusement eu du mal à accrocher dès les premières pages : l'on saute d'un personnage à l'autre sans réelle description ou "identité graphique", puisque les dessins sont très sombres, très anguleux, plus faits d'ombres et de traits de couleurs que de portraits précis.

Tout se déroule trop vite, sans que l'auteur ne nous ait donné le temps et les moyens de s'installer dans son récit, comme s'il s'attendait à ce qu'on le connaisse déjà...Et j'ai finalement atteint les dernières pages sans avoir véritablement saisi l'histoire, sans m'être immergée dans le style graphique, me laissant une drôle d'impression d'inachèvement.
Commenter  J’apprécie          21
Le dernier des Mohicans

Une bd à retenir pour sa magnifique illustration : des couleurs flamboyantes, une précision des traits. On s'y croirait.
Commenter  J’apprécie          20
Le dernier des Mohicans

Graphiquement, cette bande dessinée est une merveille. Chaque page est une oeuvre d'art à part entière : les couleurs sont certes violentes mais le rendu est magnifique. En revanche, pour ce qui est du texte, je n'ai pas du tout accroché. Ce n'est pas le fait qu'il ne soit pas raccordé à chaque dessin qui m'a ennuyé mais je l'ai trouvé plutôt brouillon, obscur et j'ai eu du mal à suivre l'histoire.
Commenter  J’apprécie          20
Le dernier des Mohicans

j'adore la saga de bas de cuir, alors quand j'ai découvert cette bande dessinée, j'ai été enchanté.

le découpage, la narration, bien différente du livre, lui donne un nouveau souffle.

les planches, sont de vrais tableaux.

ce livre est magnifique.

il y a un paradoxe dans le dernier des mohicans , quand même.

car les méchants, sont les Hurons, le traitre est Magua.

alors qu'en fait, pour nous, c'est le contraire. les Hurons, comme les Abenakis, haïs des anglais, était nos alliés.

mais je suis un inconditionnel des romans qui se passent dans la nature et particulièrement a cette époque et sur ce continent.

Commenter  J’apprécie          10
Mimosa

Une BD drôle où le personnage impertinant de Mimosa nous plonge dans ses pensées à coup de strips incisifs et bien sentis.
Commenter  J’apprécie          10




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Lucie Braud (140)Voir plus

Quiz Voir plus

Où se passe l'action dans ces romans ?

de Albert Camus (France): où se passe l'action de "La peste" ?

Constantine
Alger
Oran

15 questions
30 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}