J’ai beaucoup réfléchi au cours des derniers jours, me demandant pourquoi les jeunes semblent si mal à l’aise quand ils sont contraints de côtoyer les vieux. Ils pourraient apprendre tellement de nous. J’en suis arrivée à la conclusion que notre présence physique si fragile leur faisait prendre conscience de ce que leur réservait l’avenir.