« La vie, me disait mon vieux, c’est pas fait pour rigoler. Tu descends à la mine et tu pousses les wagonnets pour nourrir ta famille. C’est tout. Le reste c’est du cinéma. » Au début, forcément je ne l’ai pas cru. Puis avec le temps je m’étais rendu compte que lui au moins ne m’avait pas enflé. (p103)