– Un soir, ton heure sera venue, tu le sauras. Tu me croiras perdu. Je rejoindrai ma loge après une ultime mauvaise scène. Je ne marcherai plus aussi facilement. Là, tu comprendras qu’il est temps de prendre ma place. Alors tu viendras me féliciter, avec ton sourire de petit trou du cul. Tu me glisseras quelques mots sur la douceur d’une retraite à l’ombre des hexavarechs. Et avant même que tu aies eu le temps de jouir de ta victoire, je m’offrirai un repas trop gras à la source de ta gorge.
(Cuttle Feesh parAlice B. Griffin)