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4.16/5 (sur 2439 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Lyla Mars est une romancière française.

Passionnée d’art sous toutes ses formes, elle écrit, peint et dessine depuis aussi longtemps qu’elle s’en souvient et pratique le piano depuis cinq ans.

Vivant à Villepinte dans la banlieue parisienne, non loin de l’aéroport Charles-de-Gaulle, elle s’émerveille chaque fois qu’elle voit passer un avion, source d’imaginaire et d’évasion, d’invitation à découvrir de nouveaux horizons.

Fascinée par la psychologie et le cerveau humain, elle souhaite poursuivre ses études dans ce domaine – à moins que ce soit finalement son appétence pour le droit ou les sciences politiques qui l’emporte.

Jeune citoyenne engagée, elle est Ambassadrice Jeunesse de l'UNICEF, une cause qui lui tient à cœur.

Instagram : https://www.instagram.com/fromlylamars/
Wattpad : https://www.wattpad.com/user/fromlylamars
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Source : www.hachette.fr
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« The perfect match ou the perfect love ? Ashton ou Izaak ? » à l'occasion de la sortie de « The perfect love », découvrez l'instant Collection &H en compagnie de Lyla Mars


Citations et extraits (265) Voir plus Ajouter une citation
Soudain, il se détache de moi pour fouiller dans ses poches. Il en sort un anneau. Son alliance.
Quoi ?
— Tu ne l’as pas jetée ? demandé-je.
— Non... Même si elle ne représente rien en soi, je n’ai pas réussi à le faire. Je crois que c’est parce que c’est avec ça que tout a commencé pour nous deux.
Sans ce mariage, cette colocation forcée et la mascarade qu’on a menée pendant plusieurs semaines, je crois que nous n’aurions jamais découvert cette force irrépressible entre nous.
Il prend ma main, et place l’anneau au creux de ma paume.
— Je veux que tu le gardes. Pour te rappeler que, peu importe comment j’agis, peu importe ce que je dis, je suis lié à toi. Et je ne peux pas jeter cette vérité dans l’océan.

Je sens ma gorge se nouer alors que je regarde la bague scintiller dans ma paume.
Soudain, une décharge me traverse.
J’allais oublier !
Je plonge les doigts dans ma veste et sors mon alliance.
— Je ne l’avais pas laissée dans ma cabine. Je l’ai cachée parce que j’étais aussi incapable de la jeter. Et j’ai eu du mal à comprendre pourquoi... Tout ce que je sais, c’est que c’était impensable.


(p133)
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D'un point de vue neurochimique, la douleur émotionnelle qui suit une rupture amoureuse est comparable à une douleur physique. Un coup. «Entre l'espoir que l'autre revienne - ou le déni de sa perte?- et le désir de déchirer la page, de continuer à avancer la tête droite pour panser mon ego. "
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— Je ne savais pas que c’était ton genre de fille, lancé-je.

— Oh ! si, si... Elle est intelligente, drôle, rentre-dedans... et t’as vu son cul ?

Un rire nerveux m’échappe.
Je vais le dézinguer.

— Je sais que vous ne vous appréciez pas trop tous les deux mais... je trouve que c’est vraiment une fille impressionnante. Elle a quelque chose.

Oui : un mec. Moi.




(p215)
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Je ne doute jamais de rien ; sinon des certitudes.
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— J’arrive pas à croire que tu m’aies cru capable de partir sans rien dire...
— Après notre conversation de la veille, ça me semblait évident, dis-je d’une petite voix.
— Mais sérieux, Eliotte... Moi ? Partir ? Et tu penses vraiment que je me serais barré sans ma jeep ?
— Je...
— Ou pire : sans toi ?
Je lève le regard sur son visage, incapable de parler. Il
fait un pas vers moi et s’approche de mon corps qui recule contre le mur simultanément.
— Je ne serais jamais parti sans te le dire, souffle-t-il. Tu m’entends, Eliotte ? Jamais.
Sa main chaude trouve la mienne et je me laisse aller dans le vert de son regard, complètement absorbée.
— Je ne pars pas, moi, murmure-t-il. Quand je suis là, je reste. Et je viendrai toujours te chercher si je sais que tu m’attends quelque part dans ce monde.


(p423)
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— Moi, j’ai tellement envie de toi, murmure-t-il. Depuis si
longtemps.
Je regarde son torse, éclairé par la faible lumière orangée
des lampes de chevet. Ses muscles sculptés sont d’autant plus saillants sous l’éclat doré de sa peau.
Il se penche vers moi et mon cœur manque un battement.
— Bien trop longtemps... Tu m’as fait dépasser toutes les putains de limites que je m’étais tracées.
Le temps se suspend. Un, deux, trois secondes... À nouveau, le monde autour de nous est aspiré dans le vert incandescent de ses yeux. Une mèche de ses cheveux chatouille mon front.
— Si tu savais à quel point je te veux, Eliotte. À quel point j’en meurs, murmure-t-il. Hier, ce soir, et demain encore.



(p455)
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Depuis le début, je pensais avoir affaire à cet Izaak-là, sans comprendre pourquoi il était si différent de l’image que je m’étais faite de lui. Mais en réalité, il y avait tout ce temps devant moi le vrai Izaak. Celui qui n’était « pas si égoïste que ça », même du tout ; celui un peu distant mais toujours là en cas de besoin ; celui un poil condescendant mais diablement drôle ; celui qui faisait mine de rouler des yeux, en étant pourtant toujours inquiet pour l’autre ; celui qui était cru, parce que jamais hypocrite ; celui qui était seul mais seulement parce que personne ne le comprenait.
Je suis une idiote aveugle.


(p298)
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— Je prétends savoir ce que je fais, je prétends tirer les
fils comme il faut, quand il faut, mais... la vérité c’est que j’en ai pas la moindre putain d’idée.
Son regard me désarçonne une bonne fois pour toutes avant qu’il ne lâche :
— Et je parie que toi non plus.
— Izaak...
Sa grande carrure traverse l’espace entre nous et vient
se tenir à quelques centimètres de moi. Il penche la tête sur le côté, sans me quitter des yeux. Dans son mouvement, une de ses boucles brunes vient flotter sur son front.
— Oui, on s’est forcés à faire plein de choses, toi et moi... mais combien de temps ? Deux ? Trois jours ? Peut-être une semaine. Et après Eliotte, hum ?
Sa main frôle dangereusement ma clavicule. Je n’ai plus de souffle. Je ne comprends pas ce qui se passe. Ou en fait, peut-être que je ne le comprends que trop bien.
— Il y a les choses que je m’oblige à faire, oui, murmure- t-il. Et à côté, il y a celles que je m’oblige à ne pas faire. Celles que je m’oblige à ne pas dire. Celles qui me brûlent les lèvres, qui me font perdre la tête.

Sa voix déclenche un million de frissons le long de mon échine.
Et il le sait très bien, je le vois dans son regard.
Son index frôle ma peau à nouveau et vient s’enrouler autour d’une mèche de mes cheveux. Sa main tout près de mon cou arrache un battement à mon cœur. Tous mes sens ne sont plus dirigés que vers Izaak, qui siphonne l’entièreté de la pièce dans ses orbes verts.
— Et il arrive que, parce que je ne suis qu’un humain qui ne contrôle pas ses foutues émotions, je m’autorise à y penser... Et tout dégringole dans ma tête.

(p391)
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— Ton sac est vide.
— Comme mon cœur quand tu me parles sur ce ton,
Eliotte, dit-il en faisant la moue.
Il fait un cœur avec ses mains qu’il brise en séparant ses
doigts les uns des autres.
— Désolé, je n’ai rien d’autre que mon PC, réponds-je en
retenant un sourire. Je t’enverrai le cours... alors tu ferais mieux de me laisser le taper.
— C’est pas bientôt fini vous deux ?
Matthew et moi nous retournons simultanément pour dévisager la fille qui nous a interpellés.
— Ça n’a même pas commencé pour tout te dire, répond Matt du tac au tac.


(p184)
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— Tu m’as tellement manqué, murmuré-je.
— Toi aussi... Tu n’imagines pas à quel point. Il n’y avait que toi dans ma tête, toute la journée.
Il saisit ma main libre et dépose un baiser sur ma paume.
— Il faudrait que mon cœur s’arrête complètement de battre, pour cesser de le faire pour toi.
J’entends ses mots, et je les laisse couler lentement dans ma gorge ; je les savoure comme du miel. C’est tout ce que je rêvais d’entendre.
Et s’il savait que je ressentais la même chose, un millier de fois plus fort.
— Je t’ai cherchée des jours entiers, à Alma, dans la jungle, aux frontières du désert... Partout.
L’imaginer se démener pour moi me fait un pincement au cœur.
— Quand j’ai compris que tu avais été kidnappée... j’étais fou de rage, poursuit-il. Oui, fou, Eliotte. Je crois que j’ai toujours été fou quand il est question de toi.
— Et... tu es venu me chercher. Tu l’as vraiment fait.
— Je te l’ai dit, Eli : peu importe où tu es, je viendrai toujours te chercher.
Sa main se pose sur ma cuisse bandée.
— Tu en doutais ?
— Après ce qu’on s’est dit, et connaissant les risques que cela impliquait...
Je baisse les yeux.
— Oui.
— Eli...
En à peine quatre jours, il était déjà là.
Chaque cellule de mon corps vibre, à mesure qu’une
vague de chaleur me traverse millimètre par millimètre.
— Il nous fait faire des choses folles, ce cœur..., murmure-t-il. Un si petit organe qui pèse en tout et pour tout trois cent cinquante grammes.


(p439)
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