C'était précisément parce que son oeil de peintre n'avait cessé d'observer le vivant, les hauts faits de l'activité humaine, les divins secrets de la nature, qu'il était parvenu à reproduire avec autant d'ingénuité la beauté de la vie et la pluralité des paysages sur ses toiles. Comme autant de paradis sans égal...(p; 172)