Manuel Verlange

Je lis rarement de biographie mais celle de Jean-Luc Van Damme m'a vraiment transporté dans un univers passionnant.



Dans sa jeunesse il étudie les sciences économiques mais c'est pas fait pour lui les études alors il se lance dans la photographie et la musique et se commence la production de clips et puis après les films.



Son métier lui permet de faire des rencontres et de passer des moments inoubliables avec des stars internationales que ce soit dans la musique où le cinéma. Il voyage beaucoup pour son travail pour pouvoir assister à la naissance de ses projets cinématographiques.



Dans ce milieu c'est très difficile, un peu comme quand on joue avec un yo yo, un coup en haut et un coup en bas, mais il ne lâche jamais l'affaire car il est têtu.



Banana film, la société de production qu'il a crée va s'étendre un peu partout en Europe.



Après avoir lu le roman Le regard de l'antilope de James Gregory, il lui vient l'envie de produire un film basé sur cette histoire.



Après beaucoup de difficultés financières et un acteur indécis, c'est le parcours du combattant pour finaliser son projet.



Good Bye Bafana sortira dans les salle de cinéma en 2007 réalisé par Bille August.



Après cette expérience, son amour pour l'Afrique du Sud ne cessera jamais de vibrer et il y retourne régulièrement pour se ressourcer.



Jean-Luc Van Damme a une vie passionnante, toujours accompagné par l’amour de sa femme. Mais parfois cruellement la vie nous arrache le cœur, il s'envole et il se retrouve seul face a une réalité cruelle.



Ce sont des moments intenses en émotions qui me laisse penser que le bonheur est vraiment éphémère.



Pour lui la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais il tiens toujours la barre pour avancer car il est entouré par ses enfants et par sa compagne Nadine.



Il est impressionnant de constater la détermination et le courage de ce producteur dans son élévation dans le domaine cinématographique.



Manuel Verlange nous a écrit le parcours de vie de son ami qui m'a beaucoup touché.



A la fin du livre les quelques mots d'amour écrits par ses proches sont vraiment très émouvants.



Je tiens à remercier Manuel Verlange pour sa confiance, je suis ravie d'avoir pu découvrir l'histoire de Jean-Luc Van Damme.



Je remercie aussi les éditions Academia qui m'ont envoyé ce service de presse.



Je vous conseille vivement de découvrir ce roman très passionnant.




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« La vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ni si mauvais qu’on croit », conclut Guy de Maupassant dans Une vie, rejoint en cela par la philosophie de Forrest Gump et sa fameuse boîte de chocolats dans laquelle on ne sait jamais ce qu’on va trouver. Même si sa trajectoire n’a rien à voir avec le livre de l’auteur normand ou encore le film hollywoodien, le Belge Jean-Luc Van Damme (JLVD) pourrait, par certains aspects, faire siennes des répliques passées à la postérité et affirmer que sa vie n’a rien d’un plat pays.



Ainsi, JLVD, un quidam comme vous et moi, a un jour été propulsé dans ce vaste terrain d’expériences – et de jeux parfois – qu’on appelle la vie justement. Comme on le voit, l’individu est bien comme tout le monde. Or, si chacun porte un livre en soi, tout le monde n’en écrit pas un pour autant. Manuel Verlange a donc prêté sa plume et son talent de biographe afin de dépeindre les différentes étapes d’un « parcours sur chaussée déformée, un exercice de montagnes russes. » Car c’est la tournure prise par la vie de JLVD, qui « a gravi les sommets et dévalé les précipices. » Une formule imagée pour décrire tant les joies et les satisfactions que les péripéties qui ont jalonné cet itinéraire hors du commun, placé quoi qu’il ait pu advenir, sous l’égide de la passion. Pour la musique en particulier, car c’est prouvé, la musique aide indéniablement à vivre et à affronter la tourmente. Selon JLVD, « sans elle, l’existence serait sèche avec affadissement des couleurs. Les larmes couleraient, froides dans une douleur inutile. Les sourires ne voyageraient plus. »



Depuis ses premiers pas dans l’existence en question, le lecteur suit avec intérêt l’évolution d’un enfant qui a eu la chance de grandir dans un foyer rempli d’affection, où sa maman, qui avait une idée élevée de son métier d’institutrice a fait l’impossible pour contrer la carrière de cancre de son rejeton… Efforts louables mais insuffisants. Les tentatives réitérées de repêchage seront vaines en effet. Pourtant les tests validés par les psys sont formels : le niveau d’intelligence du petit Jean-Luc n’est pas en cause, celui-ci semble tout bonnement incompatible avec le système scolaire.

Depuis cette scolarité calamiteuse jusqu’à sa carrière de producteur de films, l’intéressé a donc parcouru bien du chemin : de rencontres bénéfiques en opportunités et autres coups de pouce du destin, les roses ont fini par fleurir sur les pas d’un enfant qui était loin d’être un prodige. Comme l’annonce la quatrième de couverture, « dans son vestiaire mouvementé, vous croiserez le roi Baudouin, VDB et Patrick Haemers. Mais aussi Peter Gabriel, Samuel L. Jackson, Richard Gere et Sharon Stone. Une belle amitié l’a uni à Daniel Balavoine. JLVD a travaillé avec Jean-Jacques Goldman, Alain Bashung, William Sheller et Johnny Hallyday. Mark Knopfler est venu prendre une douche à la maison… Il a notamment produit Goodbye Bafana, film international primé à Berlin ayant pour interprètes Diane Kruger, Joseph Fiennes et Denis Haysbert. Il a aussi produit plus de cinq cents films publicitaires et une cinquantaine de courts et longs métrages. »



Faire de sa passion un métier est décidément un cadeau du ciel. Cependant comme on s’en doute, en ce bas monde les nuages de l’adversité n’épargnent personne et JLVD en aura sa part lui aussi, prenant conscience de la saveur parfois douce-amère du chocolat.



Merci aux Éditions Academia et à Babelio pour cette découverte.
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J'ai bien aimé ce roman à l'histoire d'amour passionnelle entre Adèle et Aurélien. J'ai lu une version avant parution dans laquelle la fille d'Adèle et Aurélien ne portait pas le même prénom. Je préférai d'ailleurs "Rose" à "Pakita". Mais bon c'est un détail. Ma version était émaillée de fautes qui ont gêné ma lecture mais encore une fois, je précise que c'était une version non définitive. En tout cas, j'ai trouvé intéressante cette histoire où un couple vit une véritable descente aux enfers le jour où ils découvrent l'impensable. Allez une chance sur combien qu'ils aient été abandonnés par la même femme peu après leur naissance ? Je n'ai pas aimé ce recours à une radio façon "Perdu de vue" pour qu'Adèle retrouve sa mère biologique. C'est un peu "trop" à mon goût.Pour autant, face à cette réalité inconcevable, l'auteure décrit très bien les sentiments que ses personnages éprouvent, le regard des autres sur ces "monstres" qui ont commis l'abominable inceste. Comment continuer à vivre après cela ? Comment exister ? Comment protéger leur enfant ? Une lecture agréable mais même si le roman est une fiction, j'ai trouvé que cette histoire allait trop loin.
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Tout d'abord, je tiens à remercier les éditions Acadamia qui m'ont envoyé ce livre dans le cadre des masses critiques babelio. Merci à eux deux.



Quand j'ai fait la demande, je pensais qu'il s'agissait d'une biographie de Jean-Claude Van Damne.

L'étonnement passé j'étais très contente de lire cette biographie. C'est un genre que je ne lis pas forcément et c'était chouette de sortir de sa zone de confort.



J'ai donc découvert Jean-Luc Van Damné, producteur, réalisateur belge. Sa vie est parsemée de rencontres, de beaux hasards, d'un travail acharné et de moments vraiment compliqué.

J'ai beaucoup aimé le début du livre, la jeunesse de JLVD. C'était riche en rebondissements, en rencontres. La deuxième partie était plus axée sur les recherches de financements, des projets non aboutit. Un peu trop d'histoire de gros sous pour moi. En même temps, cela m'a permis de comprendre aussi la difficulté pour faire financer un clip, un film.



Le texte altene narration et dialogues entre JLVD et l'auteur. Cela rend la lecture beaucoup plus fluide et apporte de la proximité avec les lecteurs et les protagonistes.



J'ai aimé découvrir le parcours de cet homme étonnant. Peut-être que je lirais d'autres biographies. Ça m'a donné envie de découvrir.

Pour moi, Jean-Luc van Damme était un inconnu total, j'ai choisi ce livre dans la masse critique de juin 2023 car le résumé m'intriguait et j'avais envie de découvrir le parcours de ce producteur belge.

Cette biographie se présente sous forme d'échanges entre l'auteur Manuel Verlange et Jean-Luc van Damme, dans l'ordre chronologique depuis l'enfance de ce dernier.

J'ai beaucoup aimé le récit des tendres années de Jean-Luc van Damme puis celui de sa vie de jeune adulte. Peu doué pour les études, il se découvre une vraie passion pour la musique et à force de volonté, finira par devenir producteur de clips.

Il se lance ensuite dans la publicité, puis dans le milieu du cinéma. Ces années sont ponctuées d'anecdotes mais aussi d'explications sur les lancements des différentes filiales de Banana Split, sa société de base, et c'est là que l'auteur m'a un peu perdue.

En effet, l'ascension de Jean-Luc van Damme est assez passionnante à suivre, cependant, j'ai trouvé qu'il y avait trop de détails sur toute cette partie d'expansion qui à mon sens n'en nécessitait pas autant.

Le pivot de la vie de Jean-Luc van Damme d'un point de vue professionnel est le film Goodbye Bafana qui prendra un temps infini à se concrétiser.

Personnellement, l'homme connait des tempêtes difficiles à surmonter : un divorce compliqué (y en a-t-il de simple ?) puis le suicide de sa seconde femme. Ensuite, professionnellement, c'est la descente aux enfers avec une lente remontée vers la surface. On sent l'homme éprouvé, dans la soixantaine il a déjà vécu mille vies. Ce passionné de musique s'obstine dans le cinéma et les témoignages de ses enfants en postface montrent qu'eux-mêmes aimeraient que leur père retrouve sa voie afin de connaitre à nouveau le bonheur.



Pourquoi lire Banana split ?



Même si le style de Manuel Verlange ne m'a pas toujours plu, j'ai apprécié de découvrir Jean-Luc van Damme et son parcours atypique. Il est la preuve que même sans être un premier de la classe, la volonté et aussi le culot permettent de réaliser ses rêves.

Bien sûr, il m'a manqué certaines références typiquement belges par moments, cependant, c'est une biographie intéressante qui permet de croiser de nombreuses personnalités du monde du spectacle et de se glisser dans les coulisses en toute discrétion.
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D'un optimisme magnitude 9.9, Jean-Luc Van Damme a à son actif plus de cinq cents films publicitaires ainsi qu'une cinquantaine de courts et longs métrages, parmi ceux-ci "Goodbye Bafana" qui fut primé à Berlin, les rencontres prolixes, prolifiques, essentielles dans sa quête - la production grand format - que plus d'un estimerait insensée, de l'ordre de l'irrationnel. Mais faut-il le rappeler ? Le coeur, ce n'est pas la raison.