Le mariage de ma tante Suri fut pour moi un grand choc car ma tante devint aussi triste et mélancolique que l'étaient devenus mes parents.
Un jour que j'étais avec elle, elle me dit d'une voix éteinte :
- Tu sais Azam, j'aurais dû épouser celui qui louchait, il était assez gentil au fond. Et ses yeux s'emplirent de larmes.