Pourtant, il paraît que ça existe, un lecteur " houellebecquien" et "nabien". Comment ça peut être compatible ? Je pose la question. Comment peut-on éprouver du plaisir à lire à la fois les tribulations d'un type qui exalte la joie de jouir et les ruminations de quelqu'un qui épaissit l'impuissance et la tristesse de l'être humain ?