"Les chiens aboient, la caravane passe." après avoir jeté cette citation, M. de Norpois s'arrêta pour nous regarder et juger de l'effet qu'elle avait produit sur nous. Il fut grand, le proverbe nous était inconnu. Il avait remplacé cette année-là chez les hommes de haute valeur cet autre : "Qui sème le vent récolte la tempête", lequel avait besoin de repos, n'étant pas infatigable et vivace comme : "Travailler pour le roi de Prusse." Car la culture de ces gens éminents était une culture alternée, et généralement triennale.