Il fallait un jour entier pour entrerdans l'actualité des faits, c'était le jour le plus dur, au point souvent d'abandonner. Il fallait un deuxième jour pour oublier, me sortir de l'obscurité des faits, de leur promiscuité, retrouver l'ari autour. Un troisième jour pour effacer ce qui avait été écrit, écrire.