Je compense mon absence de sentiments en dorlotant mes rosiers pendant des heures. (...)
Dans ma jeunesse, j'ai lu quelque chose sur de vieux officiers de l'armée britannique qui, une fois retraités, se mettaient à cultiver des roses. Je trouvais remarquable qu'on passe ainsi de la guerre aux fleurs, et je me retrouve dans le même cas. (p. 61)