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Critiques de Marie Causse (18)
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Le bercail

"Enfant, j'avais une peur bleue des Allemands; ils peuplaient mes cauchemars bien plus sûrement que les monstres ou les hordes d'araignées qui s'y trouvaient parfois". C'est avec cette phrase (de l'avant-propos) que s'ouvre le nouveau livre de Marie Causse.



Ce roman se divise en deux, un première partie fictive et une seconde partie, beaucoup plus personnelle qui nous raconte sa quête de vérité sur cette part d'ombre de sa famille. Son arrière-grand-père a en effet été arrêté pendant la Seconde Guerre Mondiale et elle a cherché a savoir pourquoi.



C'est un travail de mémoire pour elle bien sur mais aussi un beau cadeau fait a sa grand mère qui n'avait pas toutes les réponses. On constate aussi le parcours parfois semer d'embûches, la difficulté des recherches aux archives et l'on se rend compte aussi que cette période de l'histoire pourtant si proche en terme d'années et tellement différente de la notre.



C'est un livre qui se lit vite, l'écriture de l'auteur y est pour beaucoup car elle donne un dynamique a son récit. Une belle découverte que je vous recommande.
Lien : http://missmolko1.blogspot.c..
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Le bercail

Le bercail est divisé en deux parties bien distinctes : la première est une fiction qui met en scène une jeune femme Esther .



Esther, pour financer ses études, aide les personnes âgées de son village natal, c'est une fille curieuse et plutôt fouineuse qui cherche à connaitre l'histoire de son arrière grand-père , un résistant qui a été arrêté par la Gestapo et qui est mort en déportation mais les gens du village sont plutôt taiseux sur cette affaire ...

Et lorsque , après de nombreuses années d'absence , Odette s'installe dans la maison de sa mère Marthe qui vient de mourir, Esther sent que c'est par elle qu'elle aura la clé de l'énigme et entre le repassage et l'astiquage, elle fait raconter à la vieille dame cette période cachée de la vie d'un village dans la tourmente .



C'est bien fait, simple, efficace et bien écrit.



La deuxième partie raconte les recherches effectuées par Marie Causse sur la disparition de son aïeul lors de la seconde guerre mondiale, aussi bien dans les archives que dans la mémoire des derniers survivants , quête longue et difficile mais essentielle pour elle comme un hommage à cet homme et un beau geste d'amour dédiée à sa grand-mère .



On peut féliciter l'auteur d' avoir mis en première partie l'histoire d'Esther, inspirée de sa propre famille car si les recherches sur le passé de son aïeul sont méritoires, cette partie du livre se lit avec un peu plus de difficultés.
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Bleu tatouage

Je dirais que c'est un "gentil" polar, ça se laisse lire ... les personnages sont bien campés, l'écriture est facile, sans fioritures.

Benoît veut vivre tranquillement tout en menant son petit négoce d'herbes, amoureux de Flo, la jolie serveuse du fast food du coin.

Une cliente occasionnelle de Benoît est retrouvée morte dans une poubelle.... Overdose conclura hâtivement le médecin légiste.... Mais, un mort ne va pas lui-même se cacher dans une poubelle, non ?

Alors, ce n'est peut-être pas aussi simple que les apparences voudraient le faire croire .....

Le dénouement est surprenant mais j'ai trouvé le livre trop "rapide", il m'a laissée sur ma faim ..... Je l'oublierai très vite
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Le bercail

Enfant, Marie Causse était hantée par les allemands, elle redoutait qu’ils ne reviennent pour lui enlever la personne qu’elle aimait le plus au monde, sa grand-mère.

Emile, le père de celle-ci fut arrêté le 13 février 1944. En 2013, Marie décide de découvrir ce qui avait mené à l’arrestation de son arrière-grand-père, profitant des recherches pour écrire un roman qui s’inspirerait de l’histoire de l’Auvergne pendant la seconde guerre mondiale.

Ce « roman » se divise en deux parties. La première, le roman à proprement parler, retrace l’histoire de la jeune Esther qui, pour financer ses études fait des ménages chez les anciens de son village et en profite pour les faire parler de la guerre. Tout y passe, la résistance, la collaboration, les non-dits. On finit par s’attacher aux personnages. On s’imprègne de la magie des lettres jaunies et autres photos sépia. Puis on arrive à la page 109 et la deuxième partie est là… ? Eh bien, il va falloir oublier Esther, ses « petits vieux », enfin on oublie tout ! Sur le coup, je me demandais si j’avais raté quelque chose, j’ai relu les 6 dernières pages, mais non, c’est bien la fin de l’histoire. Et pour moi la fin du roman.

La deuxième partie retrace le long parcours de l’auteure pour honorer la mémoire de l’arrière-grand-père et aider sa grand-mère à comprendre pourquoi il a été tué et ainsi faire son deuil. Un chemin long, mais incroyablement fastidieux pour le lecteur, truffé de détails notamment les recherches aux archives nationales, les différents personnages. Enfin comme disait la grand-mère de Marie : « Tu vas y mélanger avec toutes les histoires ? »



L’auteure a fait le choix de ne pas mêler l’histoire de son arrière-grand-père avec la fiction pour être sûre de pouvoir démêler le vrai du faux. Ce qui a fait perdre à son livre le côté roman et en fait un docu-roman. Dommage, car elle a une très belle plume mais comme disait Saint Exupéry :



La perfection est atteinte non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer !
Lien : http://leeloosenlivre.blogsp..
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L'odeur de la ville mouillée

Incroyable à quel point la qualité des nouvelles de ce recueil est homogène, alors même qu'elles ne ressemblent pas !

C'est à pas feutrés que Marie Causse vient secouer un peu notre coeur. Sans jamais être là où on s'y attend.

C'est que la nouvelle est un art !

Aucune déception parmi tous ceux à qui je l'ai prêté.
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Bleu tatouage

Florence est le prénom de ma fille ainée, Benoît le prénom de son conjoint comme deux des personnages de" Bleu Tatouage". Heureusement la comparaison s'arrête là.

Benoît est un petit dealer, vivant de peu, aimant l'ordre et la lecture, cultivant un peu d'herbes pour joindre les deux bouts entre deux chèques de ses parents. Il est sensé être à la fac mais il a abandonné. Florence est encore étudiante.

Il est indic de la police moyennant quoi celle-ci lui fiche la paix. Jusqu'au jour de l'overdose de Lucie...

Marie Causse a écrit un honnête petit policier dont la fin est réussie.
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Bleu tatouage

A Clermont-Ferrand, Benoît fume et vend de l'herbe. Le cadavre de Lucie, une de ses clientes occasionnelles, est un jour retrouvé dans une poubelle. Le commissaire Catherine Blondet enquête à contre-coeur sur cette affaire de mort par overdose mais Benoît mène également et involontairement sa propre enquête de son côté.

Un premier roman avec une écriture fine et drôle qui tire parfaitement parti d'une intrigue au départ assez simple. L'ambiance de petite ville de province est très bien rendue, sans clichés excessifs. Idem pour les rapports entre la commissaire et ses inspecteurs. Une très belle découverte !


Lien : https://collectifpolar.com/
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Le bercail

Livre lu dans le cadre de Masse Critique et je dois avouer que je suis assez perplexe pour écrire une critique. Le livre se compose de deux parties, que je ne me suis pas tellement expliquée : une romanesque et une qui correspond à la réalisé de Marie Causse qui a recherché les réponses à la mort de son arrière grand-père pendant la deuxième guerre mondiale.

Lorsque j'ai lu la première partie je me suis très vite passionnée pour l'histoire de cette femme qui revient au pays lors de la mort de sa mère et qui cherche à savoir pourquoi celle-ci avait si mauvaise réputation (collaboration) dans le village ainsi que le rôle de sa propre famille pendant cette période.

Je suis restée un peu sur ma faim une fois cette première partie terminée.

Pour la deuxième partie qui retrace le chemin long et fastidieux pour retrouver les éléments nécessaires à la compréhension de ce qui était arrivé à son grand père, je me suis un peu perdue dans les différentes arcanes de ses recherches, des personnages, des lieux. Trop de détails sans intérêt (pour moi), et puis j'avais toujours en tête la première partie et je ne comprenais pas la relation entre les deux...... C'est presque un récit reportage du travail de recherches à travers les Archives Nationales et autres plutôt qu'un roman.
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Bleu tatouage

J'ai trouvé que c'etait concis et juste. Pourquoi délayer quand tout y est ? La commissaire qui ne va pas au bout, les mechants qui n'en sont pas vraiment... La victime pas vraiment sympa, son ex pas vraiment méchant, les flics ni completement incompétents, ni efficaces. Et le dealer pas sympa, celui qui mène l'enquête. Et le vrai coupable, comme il se doit découvert à la dernière minute. Encore mieux que Fred Vargas, qui parfois fait trop long. Le meilleur polar lu depuis longtemps.
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Bleu tatouage

Une toxico retrouvée morte dans une poubelle, voilà de quoi mettre un peu de sel dans la vie morne d'une petite ville de province. Pourtant, à part le commissaire et le petit dealer, personne n'a l'air de s'intéresser à cette "affaire", puisqu'une overdose est une overdose... Mais l'intime conviction du commissaire qu'il s'agirait d'un crime s'immisce dans la tête des protagonistes, et du lecteur...

Ce court roman détricote les petites manières, les hiérarchies et les faiblesses de chaque personnage de façon subtile, parfois drôle, intelligente. Il n'est pas sans rappeler le dernier livre d'Yves Ravey, "Un notaire peu ordinaire", qui relatait les mécanismes pervers d'un fait divers en province. Dans le roman de Ravey, tout le récit amenait vers le fait divers, alors qu'ici nous allons vers sa résolution, mais on se rend compte que l'enjeu et les mécanismes ne sont pas si éloignés, l'écriture de Marie Causse étant tout de même un peu moins sophistiquée que celle de Ravey.
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L'odeur de la ville mouillée

Je ne suis pas "fan" des nouvelles car en général je me sens frustrée par l'histoire courte, envie d'en savoir plus etc...

Mais là bonne surprise, les nouvelles sont bien faites et surtout très bien écrites.

J'ai eu beaucoup de plaisir à lire ces tranches de vie.



Lu en 2014.
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L'odeur de la ville mouillée

Un très beau recueil de nouvelles. Le pont entre chacune de ces micro-histoires: la pluie. La pluie sur la ville, qui interfère d'une manière ou d'une autre sur le destin de chacun des protagonistes, que l'on saisit dans ses pensées à un moment-clé de son chemin. Chaque récit se lit d'une manière indépendante, chacun a son charme, sa personnalité, la galerie de portraits est hétéroclite, et pourtant... peu à peu des récits se recoupent...

La dernière nouvelle a ma préférence, particulièrement surprenante et émouvante...

La pluie, cet évènement banal et qui pourtant perturbe tout est ici un prétexte à explorer la gamme des sentiments humains et des relations homme-femme, et c'est très réussi. Bravo!
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Le bercail

Le roman se compose de deux parties:



Une première partie, romancée, raconte l'histoire d'Esther, petite-fille de Raoul et Jeanne et arrière-petite-fille d’Émile et Emma (si j'ai bien suivi....). Esther s'intéresse à l'histoire plus ou moins cachée de sa famille sous l'occupation... Cette première partie s'arrête assez brutalement alors que le lecteur commence tout juste à entrer dans l'histoire, à vouloir en savoir un peu plus sur ces étranges secrets de famille, etc...



Là, commence la seconde partie que l'on imagine être un écho à la première partie: un reflet réel et non plus romancé (hypothèse qui est confortée en fin de livre) de l'histoire familiale. Donc nous avons toujours notre personnage central, Esther, et ses grands-parents, arrière-grands-parents, oncles, etc... Une ribambelle de "personnages" qui portent maintenant un nom différent que dans la première partie, ce qui rend d'ailleurs la lecture laborieuse et confuse! Ainsi les grands-parents de la 1ère partie (Raoul et Jeanne) deviennent Jean et Paulette, etc...

Si l'on veut suivre l'histoire, ou à peu près, il est préférable de s'armer d'un stylo et d'un papier pour construire l'arbre généalogique! Le mieux aurait été de nous le donner dans le livre...

Cette seconde partie relate point par point les recherches faites par l'auteur aux archives nationales avec qui l'a aidée et comment... J'imagine que tous ces détails-là sont intéressants pour la famille de l'auteur, pour les proches, pour les curieux de la recherche généalogique mais livrés ainsi dans un "roman", c'est très peu digeste et vite rebutant à lire.

En voulant rester, semble-t-il, au plus près du réel sans y mettre l'émotion, l'auteur a oublié le lecteur.

Bref tout ce travail de recherches est fabuleux pour le cercle familial mais la transmission à un public plus large est à mon gout peu réussie... C'est dommage car la première partie du livre présageait un contenu passionnant.



J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération MASSE CRITIQUE organisée par BABELIO. Je remercie l'éditeur GALLIMARD et BABELIO pour cette opportunité.


Lien : http://lejournaldechrys.blog..
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Bleu tatouage



N°887– Mars 2015



BLEU TATOUAGE – Marie Causse – L'Arpenteur.



Une petite ville de province, ni plus calme ni plus agitée qu'une autre, une commissaire divisionnaire presque en retraite, Catherine Blondet, que Bébert, le bistroquet qui fait face au commissariat, [il y en a toujours un qui ne céderait sa place à personne à cause de la fidélité de la clientèle] s'obstine, comme tous les policiers de son service à l'appeler « Monsieur », le cadavre d'une junkie et une enquête qui débute chez Benoît, un petit dealer qui aimerait bien qu'on le laisse mener ses petits trafics tranquillement, des querelles de personnes entre collègues, tout y est pour planter le décor d'un polar. C'est bien dans une poubelle qu'on a retrouvé le corps de la pauvre fille et chacun s'accorde à penser que c'est un véritable gâchis qu’une fille aussi jolie et aussi jeune meurt de cette façon, surtout que les circonstances en sont assez énigmatiques.



Je veux bien qu'on en rajoute un peu dans l'originalité en décidant que ce minable dealer est un « lettré » parce que son appartement « déborde de livres » alors qu'il est un étudiant de plus qui a mal tourné, un intello raté comme il y en a beaucoup. Je veux bien qu'on noircisse le trait sur la légendaire inculture des gardiens de la paix et sur leur manque d'éducation, tout cela fait un peu cliché et n'apporte pas vraiment de valeur ajoutée au décor. J'aurais bien aimé en savoir un peu plus sur la complicité que Benoît avait avec les livres par exemple même si ce jeune homme devient indic ce qui n’est pas vraiment une qualité et le mettra toujours en porte à faux. Il a une copine, Florence qui, comme il se doit est une jolie femme que peut-être Benoît en mérite pas.



L'auteure fait une intéressante tentative dans le domaine de l'analyse des personnages. On suit Catherine Blondet, célibataire un peu inhibée, son parcours dans la police et aussi dans la vie, ses souvenirs, son enfance, son addiction au tabac, le regard des hommes sur elle aussi et sa relation un peu fantomatique avec un compagnon qu'on en rencontre pas vraiment. Cela aurait pu donner lieu à des développements peut-être passionnants mais tout s’arrêtent bien trop vite. C'est souvent Benoît qui a la parole, comme si c’était lui qui était chargé de l'enquête. D'ailleurs, est-ce à cause de sa nouvelle fonction de « balance » ou à cause de l'attachement qu'il pouvait avoir avec Lucie dont il était accessoirement le fournisseur qu'il choisit de mener sa propre enquête ?



Le style est bien celui du polar, même s'il n'est nullement obligatoire d'adopter pour cela un vocabulaire marginal, mais après tout cela ne me gêne pas et colle bien avec ce genre littéraire. Ce roman est par ailleurs facile à lire. D’ordinaire, je suis assez amateur de romans policiers, surtout quand ils n'évoquent le sexe, la violence et la sang qu'avec parcimonie. J'y préfère volontiers les études psychologiques de personnages. Au début, j'ai accroché mais j'ai vite changé d'avis à cause sans doute des nombreux images convenues auxquelles ce roman fait allégeance. Seul l'épilogue a retenu mon attention.



Pour autant, je lui donne volontiers rendez-vous une prochaine fois



©Hervé GAUTIER – Mars 2015 - http://hervegautier.e-monsite.com
Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Bleu tatouage

Une belle déception!

L'idée de base était bonne, l'intrigue intéressante sans être transcendante, mais il y avait du potentiel dans ce petit roman!

Ce qui gâche tout c'est qu'on a l'impression de lire un condensé du véritable roman. Tout va trop vite, les choses intéressantes ne sont pas du tout développées, il manque une bonne dose de péripéties qui auraient rendu l'histoire plus intéressante...bref, quel dommage! Le final et la révélation du coupable elle-même est décevante, pas assez préparée en amont, et retombe comme un soufflé!

Le roman final n'aurait de toute manière pas été inoubliable mais il y avait de quoi faire un bon petit polar très agréable à lire. Raté!
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L'odeur de la ville mouillée

Saison idéale que l'automne pour découvrir les nouvelles de Marie Causse. Ce sont des portraits, des scènes de vie, des moments de pluie ... Au fil des pages, les quelques gouttes qui perlaient sur la vitre deviennent averse, orage, s'intensifient comme les récits. L'auteur offre au lecteur une écriture simple comme le fait de regarder la ville derrière sa fenêtre.

Une sensibilité d'observation et une analyse sociale fine et subtile, un recueil tout à fait brillant !
Lien : http://bibliobleu.blogspot.f..
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L'odeur de la ville mouillée

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Lien : https://www.babelio.com/livr..
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L'odeur de la ville mouillée

Un ouvrage où s'entrecroisent les vies, les rencontres et les personnes. C'est un éloge de l'ordinaire, des gens simples et des simples gens, que l'on découvre si semblables à nous qu'ils nous ressemblent…
Lien : http://www.actualitte.com/cr..
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