En aucun cas, son jardin ne serait monochrome et surtout pas blanc. La mode des années 1930 où le blanc, par « contagion », avait gorgé les jardins de spirée, d’arums, de glaïeuls blancs et de roses également blanches, rappelle trop des « funérailles de jeune-fille »… Mais dans son jardin impressionniste, […] et, comme ces peintres novateurs, elle sera particulièrement sensible aux jeux de lumière sur les fleurs selon les différents moments du jour.