Entraînez vous !
- réinstaurez des échéances à votre mémoire ("je me donne trois mois pour revoir mon anglais technique, dix jours pour revoir la comptabilité d'entreprise")
- dressez l'inventaire des connaissances, pratiques ou activités dont la maîtrise vous serait utile (dans votre profession et votre vie privée). Hiérarchisez-les et estimez pour chacune combien de temps vous pouvez y consacrer. Si vous devez approfondir vos connaissances en finance, sautez le pas et lancez-vous. Vous en sortirez enrichi et aurez fait travailler utilement vos neurones.
- Organisez votre planning en fonction de ces priorités.
Témoignage : qu'est-ce qu'une conduite mnémonique ?
On pourrait résumer une conduite mnémonique d'ensemble à l'attitude d'un lecteur :
- décidant de lire un ouvrage, un soir, au calme, après avoir vu un documentaire sur un sujet (conditions d'accueil) ;
- appliquant une lecture méthodique et sélective visant les idées principales, prenant des notes après avoir refermé son livre ou se fabriquant des images mentales (transfert) ;
- et cherchant à parler de ce qu'il a découvert et aimé à des amis quelques jours plus tard (réactivation).
Les choses n'ont que l'importance que vous leur donnez. Rien ni personne ne possède le moindre pouvoir sur vous car vous êtes la seule personne à gérer votre pensée.
Eduquez votre mémoire
Vouloir retenir ne signifie pas forcément savoir retenir, et savoir retenir ne signifie pas nécessairement bien retenir ! L'acte de mémoire se joue en effet autour de trois réalités : l'accueil des informations à mémoriser, le transfert de ces informations grâce à leur appropriation par votre cerveau, et la réactivation de ces informations lorsque vous souhaitez vous remémorer quelque chose.
Mais pour être réellement efficace, cette méthode exige une conduite mnémonique d'ensemble, qu'il vous faut mettre en place. Comment ? en considérant l'acte de mémoire non comme une suite de moyens mnémotechniques à cumuler, mais comme un acte global d'éducation de la mémoire.
Entrer dans une entreprises, c'est naturellement faire l'expérience du travail en équipe. Nous y sommes très partiellement préparés, même si les travaux de groupe au cours des études ou des expériences dans la vie associative ont pu contribuer à nous ouvrir les yeux sur les exigences et les difficultés du travail en équipe.
Approfondir l’écoute, c’est également traquer les nombreuses causes de la non-écoute : pourquoi écoute-t-on mal ?
Le vrai bonheur est dans le calme de l'esprit et du cœur.