La seule chose qui doit guider l'accompagnement, c'est l'écoute et la présence. Même quand la mort est statistiquement prévisible, il reste une parte d'imprévisible.
J'ai remarqué que la présence physique, tactile, rassure. Le mourant ne pose plus la question du temps qui reste. Ce qui compte, c'est la relation qu'il a encore avec une personne qui lui est chère. (p. 88)