-- Mon garçon, tu pars parce que tu es soldat. Je te souhaite seulement de revenir.
Ces derniers mots tombèrent lourdement, et l'on reprit la dernière partie. Ceux contre qui j'allais combattre avaient les quatre as dans la main ; pour nous, nos cartes étaient pipées.
Toutes nos figures avaient déjà été jouées. p 102