Un rythme se crée en moins de temps qu’il ne le faut pour le dire. Et alors que la chose s’accélère jusqu’à la frénésie, la porte s’ouvre soudain d’un coup sec sous une rafale de vent.
Puis je l’entends au loin : la mer.
Tout juste au point de non-retour, nos explosions coïncident avec le fracas d’une vague. Puis nous nous relâchons, deux bateaux dans la silencieuse écume blanche salée, comme les larmes d’une vieille statue, pour quelque chose, quelqu’un, dont on ne se souvient plus. (« Le fracas d’une vague »)