Le remords n'est donc, d'après cela, qu'une faiblesse pusillanime que nous devons vaincre, autant que cela peut dépendre de nous, par la réflexion, le raisonnement et l'habitude. Quel changement, d'ailleurs, le remords peut-il apporter à ce que l'on a fait ? Il n'en peut diminuer le mal, puisqu'il ne vient jamais qu’après l'action commise ; il empêche bien rarement de la commettre encore, et n'est donc par conséquent, bon à rien.