Puis, sans le materner plus longtemps, il finira par trouver sa place, je me tourne vers la patiente et je m’ouvre à ses plaintes, à ses peurs, à ses pleurs, ses espoirs, ses désirs, ses échecs, ses plaisirs, je me fonds dans son air, son couplet, sa ballade, son chant solo montant du chœur des femmes.