Par Géricault, l'esclave sort de la cale et culmine, sauveur de ceux qui l'ont asservi.
Au-delà du récit des survivants du naufrage, Corréard et Savigny, en 1821, c'est l'intention de Géricault qui l'emporte ici: le manifeste du peintre contre l'esclavage près de trente ans avant l'abolition de celui-ci, et son engagement pour l'Esprit.
p.9