Martine Perrin

livre cartonné, avec de belles couleurs contrastées. J'aime cet auteur qui utilise vraiment de chouettes couleurs, des illustrations tout en rondeur. Livre idéal pour les petits de 0 à 3 ans.

Idéal pour les petites mains avec ses pages cartonnées et son petit format coloré, cet album signé Martine Perrin met à l'honneur le jeu des devinettes.

Comme toujours avec l'autrice, il y a un véritable travail graphique autour des motifs, des couleurs et des contrastes.

Un album qui plaira aux tout-petits.
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Un livre tout en découpes de Martine Perrin qui permet de voir plusieurs animaux familiers des bois et forêts.



L'auteur opère des recherches sur l'espace de la page d'une manière originale pour les tout-petits.



En même temps, elle s'adapte à leur niveau de développement

- avec des jeu de coucou/caché,

- et des découpes propices à leur développement sensori-moteur, qui en font un album à toucher.

Martine Perrin nous offre une nouvelle fois un très joli album cartonné doté en plus d'astucieuses découpes. Ces découpes dans les pages permettent un jeu de cache-cache dissimulant des animaux de la forêt. Le lecteur est ainsi invité à deviner qui se cache derrière la page suivante. Les illustrations très graphiques et aux couleurs franches sont très attirantes.

Martine Perrin revient avec un album pour les tout petits dans la droite lignée de Sur le chemin et de Qui où quoi. Dans un petit format carré, des devinettes visuelles sont proposées aux enfants grâce à un habile jeu de découpage. Chaque « couple » d’animaux est proposé dans une bichromie où quelques pointes de blanc et noir permettent de reconnaître les espèces. Les mulots filent en découvrant le blaireau, les marcassins ont peur du loup et le coucou entraperçoit le hibou dans le tronc d’arbre, par exemple.



Son style graphique n’a pas changé, les traits sont francs et précis donnant des sujets facilement identifiables pour les plus jeunes. Une auteure gage de qualité et qui montre une fois de plus son talent à s’adresser aux tout-petits.
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Le lecteur doit deviner de qui il s'agit. Chaque page dévoile un indice visuel et une énigme. Evidemment, c'est de la poule dont il s'agit.

Les pages sont colorées, avec des trous, une chouette mise en page, un graphique attrayant et des mots choisis qui riment. Je suis une fan de cette auteur.
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Un jeu de découpes intelligemment conçu permet de former une poule. Une devinette permet de trouver chaque élément : l'oeil, l'aile, la crête... Une réalisation poétique et ludique.

A partir de 3 ans

COUP DE CŒUR pour ce nouvel album de Martine Perrin qui aborde avec poésie et douceur la tristesse des tout-petits.

Chaque double page fait écho à une des facultés de la larme (symbole du chagrin par excellence). Celle-ci est symbolisée par une couleur dominante et possède un rabat à développer où une nouvelle sé développe comme un cadeau enfin dévoilé.

L'ensemble est très paisible, plein de beauté, et à mettre résolument dans les mains des enfants dès le plus jeune âge rien que pour la magie de ces mots.
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Tout part d’une larme, un grain de chagrin. Chaque page s'ouvre pour découvrir à quoi peut ressembler une larme : une goutte de pluie, un pétale de fleur, un pépin de pomme amer…

Les découpes sont astucieusement utilisées pour créer un jeu de découverte à chaque page.

C’est un album poétique, paisible et plein de beauté, autant par les mots que par ses illustrations pleines de douceur. Il est comme un câlin qui vient consoler un gros chagrin d'enfant pour l’aider à mettre des mots sur ses émotions, à accepter ce chagrin et à « le souffler au loin ».



Thèmes : émotions

: " Grain de chagrin" nous fera penser à l'album "Les larmes" de Sybille Delacroix, avec une poésie et un talent tout différent sur le projet de Martine Perrin.

Sans doute que " Grain de chagrin" par son jeu d'ouvertures et de superpositions des pages, par ses phrases courtes pour des comparaisons claires de sensation, pourra se montrer accessible à un public encore plus jeune.

Ces albums viseront à dompter le chagrin chez les plus jeunes, on le comprendra.

Que diront-ils?

Que les choses tristes sont aussi naturelles que les choses joyeuses, c'est la vie, mon petit.

Les deux albums transformeront la pénibilité des tristes sentiments en quelque chose de délicat, de curieux, d'étrangement beau, des petits bouts de Mer sâlée qui s'échappent par nos yeux, viennent se déposer sur l'ourlet des cils et se jeter sur les joues pour s'y laisser glisser.

Un album qui apaise.

Martine Perrin s'amusera de la forme d'une goutte, un petit trou de goutte centré à chaque fois au milieu de la page.

Cette larme est dite par le texte transparente, sâlée, amère, fragile, brillante. Chaque comparaison se trouvant cachée derrière chaque porte de goutte la revêtira d'une robe colorée différente, comme si elle avait été coloriée sur une raison artistique donc plus festive que prévue.

Un jeu de volet nous fera apparaitre la chose qui partagera un point commun avec une larme et le jeu de devinettes devraient plaire certainement.

Chaque élément détournera le thème de la peine par une idée plus agréable.

C'est du beau livre pour les plus jeunes.

Cet album permet une nouvelle fois d'aborder la question des émotions et des sentiments avec les enfants par le biais d?un grain de larmes. Sa plus value est bien évidemment ce jeu graphique et éditorial de Martine Perrin qui détricote de page en page cette larme pour dépasser les émotions. Les jeux de découpes et graphiques sont très réussis et mettent en scène et en poétique les propos pour un délicieux moment de lecture partagée.
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Une larme de chagrin, petit ou gros, on en a tou.te.s déjà vue. Mais avez-vous remarqué qu’elle est « amère comme un pépin de pomme »? Ou qu’elle « se transforme comme une graine de citrouille »? Pourtant, à travers le prisme subtil que Martine Perrin pose sur le monde, ça devient une évidence. Tant de couleurs et de surprises se cachent sous ses larmes découpées. Il devient tout de suite plus facile de les « souffler au loin ».

Le parapluie de madame Hô, Martine Perrin, Agnès De Lestrade, Milan jeunesse 11, 50 €

ISBN, 2745926144

Au premier coup d’œil, on est séduit par le graphisme, comme souvent dans les livres illustrés par Martine Perrin. Puis on découvre le texte d’Agnès de Lestrade et la curiosité laisse place à la surprise.







Les pages découpées, les calques, la mise en page qui ne laisse apparaître de Madame Ho que les cheveux, avec un remarquable jeu de hors champ.
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Depuis la mort de son mari, madame Hô s'est fortement attachée à son parapluie, or, un jour de grand vent, celui-ci lui échappe...

Un très joli album. Une belle histoire poétique et métaphorique sur les thème du deuil, de la vieillesse et la mort, évoqués subtilement.

De très élégantes illustrations, délicates qui comportent des effets de superposition qui donnent une touche d'originalité.

Un album ludique qui respire le Japon...



L'héroïne, Madame Hô, est veuve et n'a pour unique compagnon que son parapluie jusqu'au jour où, durant une tempête, il va lui échapper et la conduire à celui qui comblera sa solitude...



Soucieuse de retranscrire le style épuré du pays du Soleil-Levant, Agnès de Lestrade adopte une écriture simple où tout est dit en peu de mots, mots qui, en outre, ondulent au gré du vent et s'animent en fonction des effets recherchés.

Les images graphiques de Martine Perrin, dont les lignes sont accentuées par le choix de couleurs tranchantes, font, elles aussi, appel au suggestif. Seuls des détails de Madame Hô nous apparaissent : ses mains, des morceaux de son kimono (sur lequel apparaît d'ailleurs le drapeau de son pays) et une partie de son chignon orné d'une fleur. L'illustratrice joue également avec la transparence, les encoches, les superpositions et ceci n'est pas sans rappeler l'architecture traditionnelle japonaise ainsi que l'art de l'origami.

Un album plein de poésie et graphiquement très réussi. On se laisse porter par le charme tout japonais de cette belle histoire qui suit le périple de Madame Hô et de son parapluie qui lui permettra de retrouver l'amour.

C'est beau, c'est tendre, c'est poétique.

Réalisé par un duo de Françaises, cet album a pourtant un charme tout japonais (du moins, de ce qu'on imagine nous occidentaux lointains de ce que peut être le charme japonais d'un album). Madame Hô (dont nous ne voyons que les cheveux, une main et une manche de kimono) se lance à la suite de son parapluie qui s'est envolé. Et la vieille dame trouvera finalement bien plus qu'un abri.. Le tout est présenté avec un graphisme simple, épuré et touchant.

Un p'tit coin d'parapluie, pour un coin d'paradis...

Je l'ai découvert joué par une charmante comédienne dans un spectacle pour enfant. J'ai été subjuguée et j'ai couru l'acheter !



C'est un beau livre qui donne envie de tourner les pages délicatement et qui nous conte une histoire de la vie où la vieillesse et la mort se font douceur et poésie.



C'est de là que ma "passion" pour Agnès De Lestrade est née ...

Madame Hô ne se sépare jamais de son parapluie, c'est son fidèle compagnon. Pourtant un jour de pluie, ce dernier s'envole et nous voilà emportés d'une maison à l'autre pour le retrouver. Un magnifique album sur la solitude et sur l'amour, très poétique. le dessin très minimaliste et géométrique de Martine Perrin est toujours empreint de poésie. L'on ne voit jamais les personnages et pourtant beaucoup d'humanité se dégage de cet album à mettre entre toutes les mains. Plaisir des yeux et de l'histoire, un coup de coeur.

C'est un très beau livre aux couleurs noires, vertes et rouges qui s'entremêlent tout du long et nous font voyager au rythme du parapluie de Madame Hô qui a décidé de se faire la malle.

La pauvre, elle court après lui et cherche à le retrouver jusqu'à qu'elle rencontre un vieux monsieur...

Beaucoup de jeu entre les pages : calques, découpages amusants qui servent très bien l'histoire.

Mais moi je veux savoir à quoi elle ressemble Madame Hô ! Et le vieux monsieur aussi !