Citations de Mary Simses (30)
Quelquefois, les gens n'imaginent pas qu'ils pourraient mener une existence plus calme, jusqu'à ce qu'ils le fassent.
– Règle numéro un. Ne jamais écouter les conseils de ses parents en matière de carrière.
– Ca, je le sais déjà.
– Alors tout va bien.
– Oui, mon père pense que je devrais écrire le prochain grand roman américain ou quelque chose dans le genre. Ce qui conviendrait à ma mère aussi, du moment que j'organise mon mariage en même temps.
– C'est leur boulot, ma puce. Comme ils sont passés par là, ils pensent savoir mieux qui toi, mais en réalité, ils essayent juste de t'éviter le chagrin de leurs propres erreurs.
Photographier, c'est mettre sur la même ligne de mire la tête, l'œil et le cœur.
" Avant je croyais qu'avoir une mère me manquait. Mais ce qu'on n'a jamais eu ne peut pas nous manquer." Il détourne les yeux, et je me demande s'il le pense vraiment.
(...), à l'origine, le billard se jouait sur la pelouse, comme le croquet. (...) Le tissu vert est censé rappeler l'herbe."
Oui, mon père pense que je devrais écrire le prochain grand roman américain ou quelque chose dans le genre. Ce qui conviendrait à ma mère aussi, du moment que j'organise mon mariage en même temps.
Si seulement il existait une expression plus poétique pour décrire ma situation. " Entre deux histoires d'amour?" Trop présomptueux. " Célibataire ?" Trop... comment dire.... célibataire. " Je ne fréquente personne, en ce moment, finis-je par dire.
J'ai entendu dire à la radio que les gens n'oublient jamais leur premier amour, que celui-ci se grave dans le cerveau, comme un programme informatique. Et que les couples qui se remettent ensemble par la suite ont plus de soixante-dix pour cent de chances de durer toujours.
Tant qu'on s'acharne, on fait partie du monde, mais dés qu'on s'arrête...alors tout s'effondre, non ?
Il paraît que lorsqu'on rencontre des acteurs en chair et en os, ils n'ont jamais la même tête qu'à l'écran.
Il y a plusieurs manières de voir la même chose
Je posai mon bâton de craie jaune et, sur une étagère derrière le comptoir, pris la boîte de recettes en fer-blanc de ma grand-mère. Des fleurs bleues et blanches peintes à la main, usées et éraflées, étaient encore visibles sur la surface. J'y passai mon doigt avant de soulever le couvercle. L'écriture familière aux longues lettres élégantes courait sur de petites fiches jaunies. Pains et gâteaux, tartes et viennoiseries, cookies et bien sûr, muffins : ma grand mère continuait à me guider. Même à travers l'encore passée bleu canard, ses mots survivaient.
Je me suis souvenu de l'hiver dernier, quand toi et moi grimpions cette même colline ensemble. La neige fraîche craquait sous nos pieds, notre souffle formait des nuages dans l'air. Il fait si froid ici sans toi. Les myrtilliers sont couverts de glace et le vent gémit toute la nuit comme un animal affamé. Tu me manques. Je t'aime.
Je m'approchai et touchai la peinture dont elle avait si bien su jouer pour créer les vagues. Je passai le doigt sur la surface des voiles. Je pouvais presque entendre le bruit des bateaux qui fendaient l'océan. Et je pouvais imaginer ma grand-mère en train de travailler.
Elle était tellement intelligente.Et elle avait raison:l'attirance que j'éprouvais pour Roy,quelle qu'elle soit,n'avait pu naître que parce qu'il m’avait porté secours le jour où j'étais tombée du ponton.
_Grand-mère,tu me manques,murmurai-je d'une voix étranglée Tu me manques tellement.Tu vois,je suis venue ici pour faire ce que tu m'as demandé,mais ça ne se passe pas comme prévu.
_Grand-mère,tu me manques,murmurai-je d'une voix étranglée Tu me manques tellement.Tu vois,je suis venue ici pour faire ce que tu m'as demandé,mais ça ne se passe pas comme prévu.
Comme ça ? Il laissait tomber ? Mais moi je ne voulais plus partir. Je voulais rester ici et m'oublier dans ses yeux.
-Bien sûr. La soupe de palourdes.
Le groupe commença à jouer " Proud Mary", un vieil air des Creedence Clearwater Revival.
- J'ai toujours aimé cette chanson, remarqua Hayden.