C'est comme la quête du grand amour, j'imagine. L'étendue de la mare augmente les chances que le poisson parfait existe, tout en diminuant la possibilité de l'attraper. Doit-on s'imaginer qu'on a une chance mathématique, et continuer la recherche ; ou se dire que ce qu'on a déjà attrapé est parfait, et être heureux ?
Pour l'instant, je choisis d'être insatisfait. (p.25)