[...] Dans un tel bras de fer, Aldo Moro avait peu de chances de s’en tirer. Il aurait droit à des funérailles nationales ; on donnerait son nom à des rues, des avenues, des places. À moins d’une délation par l’un des complices des BR, il serait sacrifié sur l’autel de la raison d’État. Ce n’était pas le premier et ce ne serait pas le dernier.