on ne l’appelait que Raboliot […] ; une sornette qui était sienne depuis toujours, depuis les premiers mois de sa vie. Déjà futé, remuant le corps fin, l’œil vif et noir, c’était bien vrai qu’il ressemblait à un lapin de rabolière, à un raboliot bien venu, de lignée sauvage et drue : lapereau sauvage, bête de bois, les broussailles étaient son domaine