La France, en revanche, fût le véritable réceptacle de ses amours et de ses rancunes. Malgré son engouement pour le romandsme allemand, la culture française était au cœur de sa formation : Victor Hugo et Napoléon bien sûr, mais aussi Stendhal lui tiendront compagnie jusqu'à ses derniers jours.
Nous verrons plus loin à quel point l’obsession d'avoir été éconduit par les gouvernements successifs de la Troisième République le poussera vers l'alliance avec Hitler.