En contemplant le visage empreint de tristesse de sa mère , Robert mesure l’étendue de sa peine. Celle, peut-être, d’avoir été déracinée de sa campagne natale. Celle, sans doute, d’apprendre la disparition des siens par un télégramme , sans avoir pu leur dire adieu.
Marie est ainsi , aimante et mélancolique, et Robert grandira sans jamais voir sa mère sourire.