- Nous habitions rue Nekvasova, là où j’ai ma chambre maintenant, dans le même appartement communautaire. Ma mère répétait que nous avions de la chance de vivre une période heureuse pour notre pays, qu’avant l’ère soviétique les gens étaient malheureux. Je me disais que c’était curieux, car les maisons construites dans le passé étaient si élégantes, si joyeuses, et les nôtres si grises et tristes…