Le désir d’être seuls, ont découvert les biologistes, est en partie génétique et quantifiable, dans une certaine mesure. Si vous présentez de bas niveaux d’ocytocine, neuropeptide sécrété par l’hypophyse — parfois qualifiée de principal composant chimique de la sociabilité — et de fortes concentrations d’une hormone, la vasopressine, susceptible de réduire votre besoin d’affection, vous aurez tendance à moins exiger de relations personnelles.