Michel Bony dès l’âge de quatorze ans, se découvre une passion pour le théâtre qui deviendra sa profession. À ce jour, il continue d’exercer le métier de comédien en travaillant notamment pour le cinéma et le théâtre.
Alors qu’il n’a que 24 ans, Michel Bony photographie des instants d'amitié avec une vieille dame, Yvonne Chevé, âgée de 94 ans.
À vingt-sept ans Michel Bony part seul en Afrique de l’Ouest afin d’apporter à la population de villages enclavés, des vêtements et des médicaments recueillis auprès de ses amis. Ce n’est que le début d’une série de voyages au cours desquels li réalise un documentaire – fiction, intitulé « Y'a plus d'éléphant à Kédougou ».
De 1997 à 1999, Michel Bony séjourne à plusieurs reprises à la Halte d’Emmaü et se lie d'amitié avec ces retraités qui oeuvrent bénévolement en faveur des plus démunis du monde entier. Cette rencontre donne lieu à une série de portraits photographiques, réunis lors de l’exposition « Ils n’étaient pas des saints".
En 2000, Michel Bony est à l’initiative de la rencontre entre l'abbé Pierre et Théodore Monod qui n’avaient, jusqu’alors, jamais été réunis. À partir d’entretiens entre ces deux humanistes du XXe siècle, il réalise un film documentaire de 52 minutes, intitulé « En route vers l'absolu », ainsi qu’un ouvrage publié aux Éditions Flammarion.
En 2001, Michel Bony réalise, durant deux années, un témoignage photographique auprès de personnes handicapées, puis en 2003, organise une campagne de sensibilisation en faveur des personnes handicapées dont tous les partenaires soutiennent la démarche de sensibilisation de l'association "Compagnon d'idéal".
Michel Bony travaille actuellement à la réalisation d’un documentaire de 52 minutes, dont le thème est : quel regard les personnes handicapées mentales portent-elles sur l’attitude des prétendus non handicapés ?