"Fin de siècle", expression désabusée qui m'a toujours enchanté. J'y lis l'élégance d'une mode surprise juste à l'instant où elle se démode, une fin qui s'éterniserait dans sa finitude, une fin qui n'en finirait pas de s'achever. Etre "fin de siècle", se prendre les pieds dans la traîne du temps qui passe, se servir de cet embarras pour devenir une sorte de dandy du passé ! p 24