Nationalité : France
Né(e) à : Paris , le 30 août 1939
Biographie :
Michel Chevalet est un journaliste scientifique français.
En 1958, Il entame des études d'ingénieur et
obtient le diplôme d'ingénieur des Arts et métiers avant de poursuivre par une licence de mathématiques appliquées. Il enseigne comme professeur auxiliaire de mathématiques et de physique-chimie dans le secondaire et obtient son diplôme de professeur en 1966.
Il commence sa carrière journalistique en collaborant au magazine inter-armées Terre-Air-Mer pendant son service militaire puis à La Croix et Sciences et Avenir ainsi que par un passage sur la radio RMC. Il quitte définitivement l'enseignement en 1972 pour entrer à l'ORTF dont il devient rapidement le spécialiste scientifique. En 1982, il crée Météo Première, première émission uniquement consacrée à la météo. En 1987, Il arrive sur TF1 en tant que journaliste spécialisé dans l'actualité scientifique puis dans l'émission Club Sciences aux côtés de Dorothée. En 1999, il quitte TF1 et devient journaliste scientifique indépendant. Il lance notamment sur la Cinq La Chaîne Météo ou sur AB Sat le magazine La Science en questions.
Il est principalement connu pour sa phrase : « Comment ça marche ? » qu'il utilisait en transition entre la présentation sommaire d'une nouveauté technique et son mode d'utilisation plus détaillée.
En 2006, Michel Chevalet rejoint la chaîne NT1, présentant avec Alexandre Devoise le magazine scientifique Choc, l’émission. Travaillant au sein de la société SVS (Science vidéo service), il fait parti de l’équipe des experts de la chaîne iTélé depuis 2009.
Auteur de collections en DVD comme « La Conquête de l'espace » ou encore « La Passion des trains », d'ouvrages scolaires de mathématiques ou de physique, il a consacré un livre Quand tout bascule au sujet de son fils Fabrice Chevalet devenu hémiplégique et aveugle, à la suite d'un accident de la route.
En 2012, il est le parrain de la promotion 2012 de l’École nationale d'ingénieurs de Saint-Étienne.
Bringuebalé entre la rigueur des frimas moscovites et la chaleur parfois étouffante des étés texans ou floridiens, un bon journaliste spatial se doit de disposer - en plus d'un béret basque- d'une sacrée garde-robe.