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3.17/5 (sur 18 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Catus (Lot) , le 02/12/1905
Mort(e) à : Paris 16e , le 16/11/1990
Biographie :

Michel Davet est le nom de plume d'Hélène Marty, romancière française, qui a aussi écrit sous le nom de Marcel Davet, Marcelle Davet, Madeleine Bru et Laura Mirandol
Épouse du docteur Davet, elle a publié des nouvelles dans Marie Claire. Son premier livre, Le Prince qui m'aimait (1930) est très bien accueilli. Elle a été encouragée dans ses débuts par Robert Brasillach. En 1934, elle reçoit le Prix Minerve pour son roman La Fin du voyage.
Elle a publié de nombreux romans, notamment chez Tallandier, dont le plus célèbre, "Douce"( Réédité chez "J'ai Lu") a été adapté au cinéma par Claude Autant-Lara avec Odette Joyeux dans le rôle principal.
Sous le nom de Laura Mirandol, elle a écrit dans la "Semaine de Suzette" un charmant roman "Pauvre Dominique", et, sous le nom de Madeleine Bru, "La Maison des Originaux".

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Source : Wikipedia
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Citations et extraits (52) Voir plus Ajouter une citation
Les hommes se permettent tout. Pour eux, l'infidélité est presque un honneur. Si cela ne peut s'empêcher, au moins que les jeunes filles en soient prévenues, dès qu'elles sortent du couvent. Qu'on leur prépare un cœur intrépide sinon blasé.
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Quel Italien, fût-il un tordu ou un évêque, peut faire le compte de ses maîtresses ?
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Que ces marquises d'Ancien Régime étaient cocasses dans la solitude champêtre de leurs domaines ! Celle-ci qui était savante avait lu Rousseau et clamait les bienfaits de la rusticité. Elle était chaussée de sabots de ferme.
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Je croyais que, par définition, les hommes savaient ce genre de choses en naissant. Tous les hommes aiment les jardins et savent faire pousser les légumes sans avoir appris.
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Ne parlez de moi à qui que ce soit, pas même à mon frère. Contentez-vous d'en rêver.
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Beaucoup de passion, de romanesque, de tragédie, dans notre mariage ! Je me suis mariée à vingt-trois ans. Ce fou de Grégory n'en avait que dix-neuf. Nous avons dû nous exiler à Vienne. J'ai été danseuse étoile et il n'était rien. Il haïssait la danse, mes succès, les hommages dont j'étais entourée. Il s'est mis à boire, puis à se droguer. La misère et la maladie l'ont achevé. Voilà notre histoire d'amour. Je n'ai jamais aimé que lui — la danse et lui — et je ne l'ai jamais quitté.
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Étant donné la nature altière, absolue de Clément, et pour des raisons évidentes d’une jalousie particulièrement angoissée, le théâtre devait représenter, pour lui, comme un défi abominable à son infirmité. Il ne le dirait pas, cela faisait partie de son orgueil et de sa discrétion, mais il y aurait toujours des reproches dans ses silences. « Comment peux-tu vivre dans l’adulation, l’agitation, les hommages des inconnus quand tu sais ton mari cloué dans un fauteuil d’infirme ?… »
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Lucrèce était une princesse aux mœurs féroces et dissolues, nul ne l’ignore, bien que Victor Hugo ait exagéré le personnage. Elle fait empoisonner ou étrangler les amants dont elle ne veut plus. Un jour, elle s’intéresse à un jeune seigneur inconnu, l’entoure d’honneurs sans parvenir à le troubler. Il la hait, la méprise parce qu’elle a fait empoisonner ses amis. Et il la tue. Or, il est son fils et elle n’a pas osé le lui révéler.
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Licencié de mathématiques, attaché à un cours par correspondance et donnant des leçons particulières, Clément avait surmonté ses épreuves sur le plan social, mais il avait trop vite abandonné la lutte pour tenter de retrouver une vie physique normale. Fatalisme, orgueil, manque d’autorité d’un père… C’était un être d’un grand rayonnement mais secret, ombrageux à décourager les approches les plus discrètes et les plus affectueuses.
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Cette veuve, désarmée et gracile en apparence, savait assez bien se défendre. Nature complexe qui n’attirait pas l’amitié. Gémissant d’être sans argent, elle dépensait celui qu’elle n’avait pas; coquette, mais d’une coquetterie où toute spontanéité était absente et dont la tentation amoureuse n’était pas le but; mère d’un petit garçon frêle qu’elle bousculait et gâtait ridiculement, par foucades.
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