L’utilisation du scanner et de l’I.R.M. appliquée aux cadavres médico-légaux est souvent présentée comme une autopsie virtuelle ou « virtopsie ». Celle-ci pourrait ainsi remplacer l’autopsie traditionnelle. […] L’imagerie a cependant des limites, ne parvenant pas à objectiver environ la moitié des lésions présentes. Elle ne peut pas non plus permettre d’examiner à l’échelle microscopique ou biologique.