Si les églises se sont vidées, les esprits restent pleins de l'enseignement chrétien : dépréciation des corps, des sensations, des émotions, de la chair, des passions, des pulsions, des femmes, du plaisir, de la jubilation, surestimation de l'ascétisme, du dolorisme, du renoncement, d'où misogynie et phallocratie...