Cette jacquerie des gilets jaunes, comme celle des bonnets rouges, me plaît. Car elle montre qu’il existe en France, loin de la classe politique qui ne représente plus qu’elle-même, une alternative à cette démocratie représentative qui coupe le monde en deux, non pas la droite et la gauche, mais entre ceux qui exercent le pouvoir et ceux sur lesquels il s’exerce.