Dieu est mort ? Cela reste à voir ... (...) En lieu et place d'un champ fécond découvert par une pareille disparition on constate plutôt le nihilisme, le culte du rien, la passion pour le néant, le goût morbide du nocturne des fins de civilisations, la fascination pour les abîmes et les trous sans fond où l'on perd son âme, son corps, son identité, son être et tout intérêt à quoi que ce soit.