Je gênais tout le monde, jusqu’à mes enfants. Que pouvais-je lire dans leur regard, là, autour de mon lit de convalescente ? Un peu de pitié, d’affection ? De l’amour, sûrement pas ! Il n’en était pas un, sauf peut-être le petit François, qui ne rêvât de me jeter aux oubliettes pour prendre ma place sur le trône. J’avais cessé d’être une mère pour faire figure de marâtre.