"J'aurais voulu que François, premier du nom, fût aussi philosophe que Madame sa sœur. Platon n'a-t-il pas écrit que les républiques deviendront plus heureuses quand les rois philosopheront ou que les philosophes régneront? Le roi aimait lire, il aimait tellement la langue française qu'il en oublia d'apprendre le latin. Mais c'est parce qu'il aimait la langue française qu'il aimait Villon, Marot et ma prose.