Visiblement la trajectoire du temps est ici non pas rectiligne mais circulaire. On vit non dans l'histoire, mais dans le calendrier. C'est donc le règne sans partage de l'éternel retour (...) L'hitlérisme est réfractaire à toute idée de progrès, de création, de découverte et d'invention d'un avenir vierge. Sa vertu n'est pas de rupture, mais de restauration : culte de la race, des ancêtres, du sang, des morts, de la terre...