Jamais je n’arriverai, même dans mes rêves les plus fous, c’est bien évident, à traduire par écrit comme je le voudrais le trou de mon âme, le pincement au cœur qui ne me quitte pas parce que j’ai toujours sous les yeux la norme, le désespoir devant une chose définitive, une tare physique qui ne changera pas…
(Leméac, p.104)